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Íàéäåíî ïå÷àòíûõ èçäàíèé: 13
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Bazin H., La tåte contre les murs — cop.1949
L'adolescence d'Arthur Gerane, fils d'un juge d'instruction austere, qui porte en lui une lourde heredite maternelle, ne fut que fugues, vagabondage, rapines. Le cambriolage effectue chez son pere et la mise a sac de ses dossiers le conduit a l'asile d'alienes. Des lors, pris dans l'engrenage infernal: internements, evasions, il ne pourra plus echapper a son pitoyable destin. Dans ce roman bouleversant, au style cinglant et image, c'est tout le drame de l'heredite qui est expose. C'est aussi une peinture sans complaisance des maisons de sante et de detention.
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Conteurs francais du XX siecle — 1981
Conteurs francais du xxe siecle 1945-1977 par Collectif. Editions du progr˜s. 1981. In-12. Reli™. Bon ™tat, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Int™rieur frais. 493 pages; couverture cartonn™e plein cuir vert, titre dor™ sur plat et dos...Íàñòîÿùèé ñáîðíèê îòðàæàåò êàðòèíó ðàçâèòèÿ ôðàíöóçñêîé íîâåëëû íàøåãî âðåìåíè. Äîñòîèíñòâî ýòîãî "òèïè÷íî ôðàíöóçñêîãî æàíðà", óõîäÿùåãî êîðíÿìè â äàëåêîå ïðîøëîå - ê ñðåäíåâåêîâûì ôàáëèî è ìèíèàòþðàì Ìàðãàðèòû Íàâàððñêîé, äîñòèãøåãî âåðøèí èñêóññòâà â òâîð÷åñòâå Ñòåíäàëÿ è Áàëüçàêà, Ìîïàññàíà è Ôðàíñà, â 40-70-å ãîäû 20 âåêà çàùèòèëà ïëåÿäà ìàñòåðîâ, ïðîäîëæàþùèõ òðàäèöèè ðåàëèçìà - Êîëåòò, Ìîðóà, Àðàãîí, Æåíåâóà, Âåðêîð, Áàçåí, Ãàìàððà, Ñòèëü è ìíîãèå äðóãèå. Ñáîðíèê ñîïðîâîæäàåòñÿ ñòàòüåé, ñïðàâêàìè îá àâòîðàõ, êîììåíòàðèÿìè ê òåêñòó; ïðåäíàçíà÷åí äëÿ âñåõ ÷èòàþùèõ ïî-ôðàíöóçñêè.
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Bazin H., Au nom du fils — 1980 (Lectures a domicile)
Ðîìàí íàïèñàí ñîâðåìåííûì ïðîãðåññèâíûì ôðàíöóçñêèì ïèñàòåëåì, õîðîøî çíàêîìûì ñîâåòñêèì ÷èòàòåëÿì. Ðÿä åãî ïðîèçâåäåíèé ïåðåâåäåíû íà ðóññêèé ÿçûê.  ðîìàíå çàòðîíóòû çëîáîäíåâíûå äëÿ ñîâðåìåííîé Ôðàíöèè îáùåñòâåííûå ïðîáëåìû: âçàèìîîòíîøåíèÿ â ñåìüå, âîñïèòàíèå äåòåé, ñèñòåìà è ñîäåðæàíèå îáðàçîâàíèÿ âî Ôðàíöèè, èíòåðåñû ôðàíöóçñêîé ìîëîäåæè.
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Bazin H., Vipåre au poing.La mort du petit cheval.Cri de la Chouette — 1979
Herve Bazin est l'une des figures les plus importantes de la litterature fran—aise contemporaine, continuateur de la tradition du realisme critique, auteur d'oeuvres largement connues recompensees par des prix litteraires, president de l'Academie Goncourt. la langue de Bazin, a la fois aigue et pleine de lyrisme, riche et precise, represente parfaitement la prose francaise du XXe siecle. la trilogie, qui constitue l'edition proposee, raconte l'histoire des trois generations de Rezo, pose les problemes aigus de la famille dans la societe bourgeoise. le lecteur a une idee de l'evolution ideologique et artistique de l'ecrivain. l'edition, accompagnee d'un article d'introduction et de commentaires sur le texte, est destinee aux etudiants des facultes de philologie et des universites de langue, a un large eventail de lecteurs de francais.
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Bazin H., Un feu devore un autre feu — 1978
Un feu devore un autre feu, un grand roman d'amour, un drame de la passion, enchasse dans un drame social dont les vingt dermieres aanees nous ont fourni de bouleversants exemples. Imaginaire, se deroulant dans un pays non precise, en vingt-six jours, cette histoire, ou l'amour triomphe malgre tout, emprunte ses passages les plus intenses au tragique le plus reel de notre temps.
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Bazin H., A mort du petit cheval — 1970
Vous le savez, je n"ai pas eu de mere, je n"ai eu qu"une Folcoche. Mais taisons ce terrible sobriquet dont nous avons perdu l"usage et disons : je n"ai pas eu de veritable famille et la haine a ete pour moi ce que l"amour est pour d"autres. " Si loin de Folcoche qu"il vive desormais, Jean Rezeau n"en continue pas moins de subir, a travers ses revoltes glacees et ses illusions mort-nees, la tyrannie ancienne de la femme qu"il deteste le plus au monde. Dans l"apprentissage d"une liberte douteuse, les metiers exerces tant bien que mal, les amours sans consequence, c"est toujours le spectre de la mere qui revient, tentaculaire et pretant a toute chose les couleurs de la hargne, de l"amertume et de la derision. A la mort du pere Rezeau, Jean croit tenir sa revanche, mais comment humilier un etre qui a le talent de rendre tout humiliant ? La cruaute de l"analyse, le cynisme emouvant du heros et l"acidite du style font du roman de Bazin un des meilleurs requisitoires, a la fois vif et modere, contre un certain type d"oppression familiale
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Bazin H., Le matrimoine — 1967
« J'y appelle Matrimoine ce qui dans un menage releve normalement de la femme, comme ce qui de nos jours tend a passer de part de lion en part de lionne » Le propos du « Matrimoine » n—est pas en effet de savoir comment un couple se fait ou se defait (sujets classiques pour drame ou melo), mais comment il . Pour des motifs differents de ceux qui l—ont amene au mariage et qui le font passer insensiblement de la nouveaute a l—habitude, du desir a la satiete, du risque aux charges, du choix au devoir, du hasard a la fatalite. Malgre ou chacun de nous n—est . Malgre ces mille problemes d—accord mutuel, d—argent, de lit, d—autorite, d—education. Malgre l—enlisement dans le ronron, l—ennui, la betise, l—empietement familial. Abel Bretaudeau, petit avocat de province et sa femme Mariette, fille des bonnetiers Guimarch, ce sont M. et Mme Tout-le-Monde. Mais la lucidite d—Abel tour a tour aigre, tendre, feroce, passionnee, montre assez que l—auteur — s—il n—est nullement acteur — se tient tout pres de son personnage et partage avec lui l—experience de ses echecs. Si Herve Bazin est vraiment, comme on l—a dit, un « specialiste des difficultes de la famille », « Le Matrimoine » complete une uvre dont les moyens restent par ailleurs ceux qui, de « Vipere au poing » a « Au nom du fils », lui ont valu le plus constant des succes.
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Bazin H., Le Matrimoine — 1967
Abel Bretaudeau epouse Mariette Guimarch pour mener une existence « a deux ». Il dechantera vite, car c'etait compter sans l'invasion de la belle-familie, puis bientot d'une nouvelle generation de Bretaudeau, tous plus Guimarch les uns que les autres. D'une plume tour a tour vengeresse, amusee, Herve Bazin nous donne dans Le Matrimoine une chronique savoureuse et percutante d'un mariage refletant les murs de notre epoque.
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Bazin H., Chapeau bas — 1963
Toute la ville s'est donne le mot : la vieille Emma a pu se payer un enterrement de premiere classe, mais elle n'aura personne derriere son cercueil. Cet ostracisme posthume indigne le tonnelier Nicolas, car il n'est pas d'etre si meprisable qui n'ait droit, une fois mort, a des egards. La ville boude ? Avec l'aide de sa femme, il la forcera bien a mettre "chapeau bas". Et c'est avec la malice du temps ou il etait apprenti que le tonnelier monte le bateau ou va s'embarquer la ville entiere. Comme Nicolas, comme d'autres personnages d—Herve Bazin, le heros de "Bouc emissaire" est anime d'agressives bonnes intentions. Mais l'atmospherique est plus tragique dans son bourg partage entre Bignons et Vernois, comme l'Italie au temps des Guelfes et des Gibelins.
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Bazin H., Au nom du fils — 1960
Au nom du fils On remarquera que ce theme de la paternite n—a ete que rarement traite dans le roman francais (Balzac, bien s«r— Encore que soit surtout l—histoire d—un vieillard depouille par ses filles.) Que cette lacune soit comblee par le romancier de , c—est-a-dire de la haine filiale, cela peut etonner mais cela est logique : Herve Bazin est le romancier des difficultes de la famille, toute son oeuvre en temoigne. Disons que le temps a fait aussi son oeuvre, et que, si l—auteur n—est point ici acteur comme naguere, il a connu depuis, aupres de ses propres enfants, les sentiments qui font de ce livre le chant d—amour d—un pere. Ceci dit (pour reprendre une citation d—Emile Henriot) « il ecrit toujours de la meme encre empoisonnee, de la meme plume furieuse, n'ayant pas encore desarme et cependant c'est un homme en train de se transformer que nous retrouvons— »
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Bazin H., Que jose aimer. Roman — 1956
Aux environs de Nantes, quatre femmes vivent a La Fouve : une jeune divorcee ; ses deux filles, Isabelle et Berthe, la cadette ; enfin Nathalie, servante fidele, qui a pris dans la maison l'autorite; d'une vieille parente. Apres une courte absence,.
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Bazin H., La mort du petit cheval — 1950
Jean Rezeau a beau etre maintenant eloigne de sa mere, la terrible Folcoche, sa tyrannie le poursuit. Des annees de haine ne l ont pas prepare a l amour et il faudra qu il fasse son apprentissage. A travers differentes experiences, Jean s y appliquera et, peu a peu, il decouvrira le bonheur.
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Ðàññêàçû ñîâðåìåííûõ ôðàíöóçñêèõ ïèñàòåëåé. êíèãà äëÿ ÷òåíèÿ íà ôðàíöóçñêîì ÿçûêå â ïåäàãîãè÷åñêèõ èíñòèòóòàõ — 1968
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